Après avoir passé quinze jours dans un chalet nommé les Cyclamens, le retour était attendu avec impatience. Sorties du chalet, les valises ont été chargées dans les soutes du car.
Avant de monter nous avons dit au revoir aux animateurs qui nous avaient supportés durant ces deux semaines et même certains dentres eux sont venus nous dire au revoir dans le car !!!
Deux animateurs sympathiques (Gaétane et Jonathan) nous ont accompagnés de Châtel à La Ferté Saint Aubin.
Une fois dans le car, nous avons pris place et nous nous sommes installés confortablement.
Nous avons eu à peine cinq minutes pour jouer aux jeux vidéo. Les lumières se sont éteintes rapidement et nous nous sommes endormis.
Comme à laller, le car sest arrêté dans une aire de repos une demi heure ce qui a permis à certains enfants daller faire leurs besoins ou de prendre lair. Puis le car est reparti de plus belle.
Au lever du jour, vers Orléans, les enfants se sont petit à petit réveillés.
Arrivés au rond point de Novotel, nous étions très excités car nous savions que nous étions bientôt arrivés à La Ferté Saint Aubin. Devant lécole cétait merveilleux, après quinze jours de séparation, de revoir nos parents (enfin, chouette !!!).
Nous étions tellement émus que quelques enfants et quelques parents ont versé des larmes de joie. Nous avons récupéré nos fromages et nos valises et nous sommes rentrés chez nous.
La classe de neige était vraiment finie.
Lundi 1er avril, nous sommes allés patiner sur une patinoire où lon patine avec des patins ! ! !.(Ce nest pas un poisson davril.)
La patinoire de Châtel est découverte et se situe à côté dun lac (le lac de Vonnes). La vue sur le lac est superbe.
La patinoire nous était entièrement réservée. Nous sommes arrivés vers 9h30, on nous a donné les patins, puis, quand tout le monde était prêt, nous sommes entrés sur la glace. Au début, chacun faisait attention, on était prudent. Puis, nous avons pris de lassurance, et nous avons commencé à glisser de plus en plus vite. Il y a eu de très nombreuses chutes, mais heureusement, rien de grave.
Lorsque Monsieur GABERT est arrivé sur la glace, trois élèves lui ont sauté dessus pendant que Séverine prenait en photo cette scène. Après, nous avons fait des courses sur toute la longueur de la patinoire.
En fin de matinée, nous sommes rentrés déjeuner aux Cyclamens. Nous étions en retard, mais nous avions passé un bon moment
Raphaël et BaptisteLe 2 avril, nous sommes allés à la patinoire de Châtel. Il y avait deux classes (celle de Madame FROMENT et la nôtre). On nous a demandé notre pointure pour nous donner nos patins. Après les avoir mis, Monsieur GABERT nous a donné les consignes. Après avoir compris ces consignes, nous sommes rentrés sur la glace. Ensuite, nous pouvions commencer à patiner. Raphaël, Florian et Donovan ont essayé de faire tomber Monsieur GABERT, et ont réussi !
Cétait génial et plein denfants sont tombés ! ! ! ! !
Nous sommes rentrés à Châtel à 12h30.
David et DonovanDans la classe, il y avait quatre enfants qui ne pouvaient pas venir, car ils étaient blessés ou malades ( mais ils auraient bien voulu essayer).
Quand nous sommes arrivés, nous avons attendu que les autres groupes finissent. Nous devions y aller par petits groupes car les luges arrivaient vers nous par cinq. Un monsieur est venu nous expliquer comment on se servait du levier.
Au début, nous sommes partis tout doucement puis nous avons accéléré brusquement. Il y avait plein de virages où l'on devait freiner. Après une ou deux minutes de folle descente, il fallait ralentir avant l'arrivée. Nous avons fait deux tours chacun.
Nous avons adoré car on allait très vite et on avait plein de sensations. Au premier tour, nous avons eu un peu peur. Nous aurions aimé faire plus de tours.
Et nous sommes repartis aux Cyclamens, enchantés de cette activité...
Isabelle et Pauline31/03/2001
Jeudi 29 mars après le goûter, comme il avait beaucoup neigé, nous sommes allés faire des glissades juste devant le centre.
Nous avons fait deux équipes et nous devions faire un relai. La première équipe qui avait fini, avait gagné.
Les luges étaient en forme de coquille.
Pour aller plus vite, il fallait se mettre sur le dos et les jambes en l'air.
Anthony C.Les repas au chalet sont délicieux. On y mange les plats traditionnels savoyards : la raclette, la fondue et la tartiflette. Nous avons également savouré les spécialités fromagères : tome, reblochon et ... camembert (même si ce n'est pas un fromage de la région ).
Mais dans la salle à manger, c'est aussi bruyant que les plats sont bons !!! En sortant on a les oreilles en feuilles de chou (c'est la "femme à Roudoudou").
Le matin ce n'est pas trop bruyant car on est dans nos rêveries. Le midi ça l'est un peu plus. Le goûter se passe dans le calme car on est en petits groupes.
Par contre, le soir c'est l'enfer. A côté de nous, les p'tits diables sont des anges.
Les animateurs lèvent la main pour faire le silence. C'est mieux qu'à la cantine.
Florian, Baptiste, Thomas.P29/03/2001
Nous, les élèves de M. Gabert, avons battu le record des malades :
Certains ne peuvent plus hausser la voix car ils ont mal à la gorge et plusieurs ont un rhume ou une rhino-pharyngite. Pendant la deuxième semaine du séjour, une enfant a eu un problème à l'épaule, il y aussi une élève qui a eu une attelle au genou dès le troisième jour, ça doit être pénible !
A cause de tous ces problèmes, certains ne pourront peut-être pas refaire de ski.
Quel bazar !!!!!
Axelle, Pauline, Isabelle28/03/2001
Hier, le mercredi 28 mars, un pisteur est venu nous parler de son travail : il doit sécuriser les pistes et secourir les blessés.
Voici quelques exemples de ce que le pisteur nous a expliqué :
En haut des remontées mécaniques, s'il y a une personne qui n'a pas le temps de descendre avec ses skis, il touche un câble et la remontée mécanique s'arrête.
Si les pistes sont trop dangereuses, c'est à lui de les fermer.
Chaque jour, il réinstalle les balises de couleur verte, bleue, rouge et noire que le vent a fait tomber.
Pour indiquer les dangers, il installe des piquets de couleur jaune et noire.
Le pisteur doit aussi déclencher des avalanches à l'aide d'explosifs pour éviter que les coulées de neiges arrivent sur les pistes, donc sur les skieurs.
En cas d'avalanche avec une sonde ou avec un émetteur ARVA (Appareil de Recherche des Victimes d'Avalanches), il peut retrouver des personnes ensevelies.
Sous une avalanche, on peut survivre environ une heure et quart, les secours doivent arriver vite, sinon il n'y a presque plus d'espoir de retrouver quelqu'un en vie. Le moyen d'intervention le plus rapide est l'hélicoptère mais il ne peut voler que par beau temps.
Pour retrouver plus facilement des victimes, les pisteurs font aussi appel à des chiens d'avalanches.
Le métier de pisteur est donc indispensable pour que nous puissions skier en toute sécurité. Nous avons appris beaucoup de choses grâce à Jeannot, le responsable de sécurité des pistes de Châtel.
Claire, Sabrina, NoëmieLe mercredi 28 Mars, nous avons fait une sortie à Châtel.
Nous avons commencé par constituer des groupes de quatre ou cinq enfants pour répondre à un questionnaire qu'Alex l'animateur nous avait donné. Pour répondre aux questions, nous devions demander de l'aide aux commerçants. Ils etaient plus ou moins aimables. Certains nous faisaient goûter leurs spécialités, et nous aidaient à répondre aux questions ( pas si faciles que ça). Certains commerçants nous ont repoussés. Ils nous ont dit : "On n'a pas le temps, repassez plus tard".
Le questionnaire complété, nous avons rejoint Alex à l'entrée du marché.
Nous sommes remontés en navette, jusqu'au châlet des Cyclamens.
Nous étions très contents de cette sortie.
Cassandre, Alexis, David. A27/03/2001
Nous avons fait du ski de fond une après-midi dans tout le séjour.
Nous en avons fait à Super Châtel sur des chemins pédestres recouverts de neige.
Quelques enfants ont trouvé cette activité géniale et d'autres pas du tout, parce qu'ils pensaient que ce n'était pas stable.
La chaussure de ski de fond est plus légère que la chaussure de ski alpin. La pointe de la chaussure de ski de fond a un crochet que l'on coince dans la fixation avant. Sous le ski, la chaussure comporte des écailles pour ne pas glisser en arrière. Le ski de fond est aussi plus long, plus léger, plus étroit.
Même si tout le monde ne pense pas la même chose, c'était bien d'essayer.
Malheureusement, on ne peut pas faire de ski de fond à la Ferté.
Le vendredi 30 mars, juste à coté du chalet des Cyclamens, il y a un vieux chalet, restauré à l'intérieur, mais comme autrefois à l'extérieur. Nous ne pouvions pas y entrer car des personnes y vivaient. Donc nous avons fait le tour à l'extérieur. Julie et Nathalie (deux monitrices) nous ont expliqué toutes les ruses des anciens chalets. Tout d'abord, elles nous ont montré les deux matériaux utilisés pour les construire: le bois et la pierre car on les trouve partout dans les montagnes.
Voici les différentes parties que nous avons observées:
Le rez-de-chaussée:
Le rez-de-chaussée est la pièce en pierre. Cette pièce servait d'étable. La chaleur des animaux, en montant, réchauffait la pièce principale.
Quelquefois, il y avait un cellier où était entreposée la nourriture.
Les étages:
Au 1er étage, ainsi qu'au deuxième et au troisième étage, il y avait les habitations. Plus il y avait d'étages, plus il y avait de générations qui habitaient dans le chalet. Autour des étages, il y avait sur les balcons du bois pour isoler du froid.
Le fenil:
Le fenil est l'endroit où il y a le foin. Les ouvertures ( qui sont souvent en forme de croix) servent à aérer le foin.
Le mazot:
Le mazot était une petite cabane qui se trouvait à dix mètres du chalet (assez loin du chalet pour qu'en cas de feu, il soit à l'abri des flammes). On y mettait des bijoux, de l'argent, les costumes du dimanche, etc.
Voilà le cours était terminé!
Allan et Thomas N.26/03/2001
Le lundi 26 mars nous avons pris le car pour aller à Viuz en Sallaz, un petit village près du Lac Léman. Le voyage a duré une heure et demie. Une fois arrivés sur place, nous avons reçu une pochette plastique qui contenait un repas pique-nique (un uf, un sandwich, des chips, un fromage, une pomme et pour le goûter une gaufre). Après le repas, une charmante dame est venue nous expliquer le principe de la visite : en répondant à un questionnaire, on allait pouvoir trouver des indices et ainsi le "trésor perdu ": un jeu de quilles en or !
Voici l'introduction : Mystère !
Un professeur en archéologie est à la recherche d'un jeu de quilles en or dont il a entendu parler par les anciens. Mais où et comment le trouver ?
Le professeur a déjà quelques indices. Il a retrouvé une carte, mais elle est très abîmée. Il a fait quelques recherches sur la vie d'autrefois et il a réalisé un petit dictionnaire avec les dessins et définitions des objets utilisés par les artisans et paysans d'autrefois.
Mais ceci est insuffisant pour résoudre l'énigme des trésors.
Peut être pourras-tu l'aider...
Pour cela, il te faut répondre aux questions du livret.
Attention ! Seules les bonnes réponses permettront d'obtenir des indices supplémentaires.
Bonne chance !
Il fallait donc trouver des informations dans les pièces du musée.
Dans le musée, il y avait un étage avec plusieurs pièces qui représentaient des scènes de la vie d'autrefois.
Au rez-de-chaussée, il y avait plutôt des scènes de la vie familiale et au premier étage il y avait des scènes de métiers.
Après avoir répondu à toutes les questions du livret, nous nous sommes tous retrouvés dans une pièce qui représentaite une salle de classe comme autrefois et nous avons donné les réponses que nous avions trouvées avec la carte qui était à la fin du livret. Nous avons trouvé que le jeu de quilles en or se trouvait dans la Grotte aux Fées sur le Mont de Vouan. Puis la dame nous a raconté la légende de la Grotte aux Fées. La voici :
Avant, dans la grotte aux fées, il y avait des tailleurs de pierres qui travaillaient. La veille de Noël, les tailleurs avaient fini plus tôt sauf un qui resta pour un travail de finition. Une fois fini, il sortit mais à peine après avoir fait quelques mètres, il se tordit la cheville : "Aïe, fit-il".
Comme la nuit commençait à tomber, il ne put redescendre au village. Alors il se fit un feu pour se réchauffer dans la grotte.
Lorsque le premier coup de minuit retentit au clocher du village, une paroi de la grotte s'ouvrit et là, le jeu de quilles en or apparut.
Au douzième coup de minuit, la paroi se referma. Le lendemain, quand le tailleur redescendit et qu'il raconta à tout le monde ce qu'il avait vu la veille au soir, tout le monde le crut. L'année d'après, un homme alla dans la Grotte aux Fées et attendit minuit.
Quand minuit sonna, il entra dans la paroi et voulut prendre une quille, mais comme elles étaient attachées ensemble, la charge était trop lourde !
Alors il prit la boule, mais en ressortant, son talon fut prit entre les deux parois car le douzième coup de minuit venait de retentir. Il cria très fort car il avait mal. A ce moment là, une fée apparut et lui dit : "Rends moi la boule et je te rendrai ton talon". Il fut bien obligé de lui rendre la boule. Le matin au village, il dit : "Si cette fée n'était pas apparut à ce moment, je serais riche ! "
Cette légende nous a beaucoup plu. Nous avons passé un bon moment. Puis nous sommes repartis aux Cyclamens, et nous en savions plus sur la vie des artisans et paysans d'autrefois.
Lundi 26 mars, au matin, nous sommes partis à Yvoire, une petite cité médiévale.
Arrivés là bas, nous avons vu le lac Léman. Au bord du lac Léman nous avons fait des groupes. Un groupe a rencontré par hasard le maire qui nettoyait la fontaine du village ! Il nous a raconté ce qui sétait passé pendant la 2ème guerre mondiale. Il nous a dit que le clocher était fait en argent, recouvert de plaques de métal comme des écailles de poisson.
Cétait beau car il y avait un château qui faisait tout le charme de la ville et des petites rues avec des maisons en pierre. On pouvait voir aussi des enseignes comme au Moyen Age.
Après nous sommes repartis en direction du car pour aller au musée paysan de Viuz en Sallaz.
Raphaël, Charly, Guillaume.25/03/2001
Dimanche 25 mars, nous sommes allés tout près du centre "Les Cyclamens" pour voir un vieux chalet. Il a été construit en 1890, car la date (ainsi que les initiales du propriétaire) sont gravées au dessus de la porte de la façade.
Ce chalet etait habité par trois générations d'une même famille. Sur la façade, on peut voir des balustres taillées à la main par le propriétaire. Quand plusieurs familles habitaient le chalet, le motif sculpté était différent.
Le chalet était fabriqué en bois de sapin ou d'épicéa car c'est la matière première de la vallée d'Abondance. Les fondations étaient en pierre.
Le chalet était conçu pour recevoir la lumière toute la journée. A l'est, se trouvait la cuisine, au sud, les pièces principales.
Le chalet était composé de trois étages : au rez-de-chaussée, il avait l'étable car la chaleur des animaux montait et chauffait l'étage supérieur. Au premier étage, il y avait l'habitation ; Au dessus, on trouvait la grange où étaient rangés les outils agricoles. Tout en haut, au fenil, le foin était stocké pour nourrir les animaux l'hiver. Le toit était percé pour aérer le foin, l'empêcher de s'enflammer et de moisir.
A côté du chalet, on peut voir un cabanon appelé "le mazot" où les propriétaires déposaient toutes leurs richesses : bijoux, habits du dimanche et argent...
Si le chalet brûlait, leurs objets précieux n'étaient pas en cendres. Le principal problème des paysans était le froid. Pour lutter contre le froid et isoler le chalet, ils rangeaient leur bois contre les murs. La neige était retenue sur les toits par des petites butées. Le foin était aussi un bon isolant.
Texte collectif24/03/2001
Pour faire du fromage dAbondance, il faut du lait de vache. Trois races de vaches sont autorisées pour cette production : la race dAbondance, de Montbéliard et la Tarine. Les vaches sont traites deux fois par jour. Le fermier nettoie les mamelles, il place un trayon aux quatre mamelles et le lait est aspiré dans un tuyau.
Le lait est versé dans un chaudron en cuivre qui contient 250 litres de lait. Le lait qui sort du pis de la vache est à 38°. Le fermier doit maintenir cette température qui ne doit pas descendre au dessous de 33°. Il ajoute de la présure au lait pour le faire cailler. Cela dure 30 minutes pour que ça ressemble à un grand yaourt. On introduit un instrument appelé tranche caillé qui sépare le fromage en petits grains. Le lait est brassé dans le chaudron pour empêcher les grains de tomber au fond.
Ensuite, le fromage mou qui est en grains, est chauffé entre 45° et 49° pour faire un fromage à pâte demi-cuite. Une fois cuit, le fromage est récupéré avec une toile de lin que le fermier attache à son cou comme une serviette de table. Le fromage est essoré puis déposé dans un moule réglable. Il sera pressé pour enlever le petit lait. Avec 250 litres de lait, on peut faire 2 fromages qui pèsent entre 7 et 12 kg. Le fromage sera transformé et affiné dans une cave très humide pendant 3 mois.
Tous les jours, le fromage est retourné sur une planche dépicéa. Il est salé pour lui donner du goût et pour éviter que la moisissure se forme. La croûte se forme et devient orangée au bout de 3 mois. Le fromage fermier est fait uniquement avec le lait de vaches dune même ferme.
Pendant lhiver, les vaches sont nourries avec du foin et des céréales (orge et maïs). Les fermes qui produisent ce fromage nont pas le droit de donner de lensilage à leurs vaches.
Lété, les vaches vont brouter dans les alpages. Le fermier possède un chalet dans les alpages. Il emmène le matériel nécessaire pour traire et fabriquer son fromage.
23/03/2001
Nos premières impressions au ski
La 1ère
séance de ski vue par un CE 2
Nous avons fait nos groupes de ski le matin mais il y avait des enfants dautres écoles. Nous avons enfilé notre équipement de ski : combinaison, chaussettes, chaussures de ski, gants, lunettes, crème solaire et stick à lèvres.
Nous sommes allés du centre à Super Châtel en *navette (*bus) jusquà la place de Châtel. Nous sommes montés en télécabine pour aller à Super Châtel. Quand nous sommes arrivés à Super Châtel, nous avons fait connaissance avec les moniteurs de ski ESF (Ecole de ski français).
Dans les leçons de ski, nous avons fait du ski sur un seul pied, nous glissions dans les descentes, nous nous sommes fait tirer par une corde.
Nous sommes redescendus à Châtel en télécabine puis nous sommes rentrés en navette au chalet.
La 1ère
séance de ski vue par un CM2
Ce matin, les moniteurs sont venus pour faire les groupes de ski. Il y a des enfants des autres classes avec nous. Vers 11 heures il fallait enfiler son équipement : les collants, la cotte, le casque et les lunettes, cetait très dur. Pour aller à la station de ski (Super Châtel), nous avons pris des navettes jusquà la place du village. Quand nous sommes arrivés à la station, nous avons pris les télécabines, cetait assez long !
Après être arrivés nous avons fait connaissance avec nos moniteurs de ski ESF (Ecole de ski français). Au début de la leçon cétait dur, mais après ça allait un peu mieux. La leçon terminée, il a fallu rangé les skis. Ensuite, nous sommes descendus en télécabine. Nous sommes allés à la place du village, là où nous attendaient les navettes. Et nous sommes revenus au chalet en navette.
Jai trouvé cette journée très mouvementée, mais très bien.
Vers midi, après avoir déjeuné,nous sommes partis au ski. Nous sommes allés, ensuite, chercher nos chaussures de ski, nos casques, nos gants etc.
Nous avons pris la navette (un bus) qui nous a emmené au centre de Châtel pour aller à la station de ski. Une fois arrivés à Super Châtel, nous avons pris le télécabines.
Chacun a rejoint son moniteur ESF ( Ecole de ski français) avec un animateur des Cyclamens. Nous avons fait plusieurs exercices pour nous échauffer. Puis, les débutants ont pris le fil neige et ont un peu skié, les autres groupes ont pu skier aussi.
A la fin de la séance, nous sommes repartis rejoindre la navette en reprenant les télécabines. Nous avons adoré cette après-midi.
22/03/2001
Après avoir descendu les valises du car, nous avons pris le petit déjeuner . Ensuite nous avons monté les valises dans nos chambres au premier étage. Cétait difficile !Puis nous avons rangé nos affaires dans nos placards, nous avons choisi nos lits et nous avons fait nos lits à deux pour que ce soit plus facile !
Un peu plus tard, nous sommes allés en classe. Nous avons écrit un texte sur le voyage. Puis nous sommes allés déjeuner. L après-midi, nous nous sommes reposés. Après nous avons joué dans nos chambres. En fin daprès-midi nous avons pris le matériel de ski : les chaussures, les skis et le casque. Un moniteur a réglé nos skis.
Nous avons goûté et nous sommes allés en classe.
Quelle journée épuisante ! ! !
Mickaël ,Jessica,Thomas, Axel, LaurieNous sommes partis de La Ferté à 23h00 comme prévu. Dans le car, chacun sest installé confortablement et nous avons joué aux jeux vidéo pendant vingt minutes.
Puis, les lumières ont été éteintes et nous nous sommes endormis. Certains dormaient la bouche ouverte, dautres ronflaient. Dans lallée du car, il y avait des pieds , des mains, des visages qui pendaient. A Beaune, le car sest arrêté une ½ heure. Cetait lheure de la pause " pipi ". Il était environ trois heures du matin. On pouvait aussi boire et manger des gâteaux. Ensuite, on est reparti et on sest rendormi. Quand le jour sest levé, vers 6h30, on a commencé à regarder le paysage. On était dans la vallée, il y avait des torrents qui descendaient de la montagne. Cétait joli. A cause des virages, quelques enfants sont devenus tout blancs et plusieurs avaient la tête au dessus dun sac plastique. Enfin, on est arrivé à 7h57 précises au chalet des Cyclamens. Super, on avait 3 minutes davance ! La classe de neige commençait vraiment.