Elle possède environ 150 bêtes dont 75 vaches qui produisent du lait. Pour donner du lait, une vache doit avoir eu un veau. Avec le lait, le fromager fabrique du Reblochon et de la Tomme de Savoie

Il faut 4 litres de lait pour un Reblochon, 20 l pour une Tomme.

Chaque jour, une vache peut donner environ 30 l de lait. Elle mange 14 kg de foin et environ 2 kg de céréales. Elle boit de 80 à 100 l d’eau.

Pour faire un Reblochon :

Il faut donc attendre 3 semaines pour manger un Reblochon fermier reconnaissable à son étiquette verte.

On est parti à pied le dimanche 2 avril à 14 h 00 vers le village de Combloux. La, nous avons pris la navette pour aller sur les pistes de ski. Nous sommes montés grâce au télésiège jusqu’à 1500 mètres d’altitude. Après avoir marché jusqu’à un petit sentier, nous nous sommes assis sur nos luges ou nos grands sacs en plastique. Nous avons glissé, c’était génial. Ca allait doucement au début puis à la fin, on accélérait et on a fini par foncer. Jordan est sorti du sentier et a heurté un sapin. Il s’est fait mal au dos, il a un peu pleuré mais finalement il est reparti.

 On s’est arrêté pour goûter et certains ont pris quelques photos, d’autres ont essayé de construire un igloo ou un bonhomme de neige. 

Enfin, on est rentré à pied à la Combaz. Tout le monde s’était bien amusé mais on était trempé et surtout très fatigué.

    Elle nous a dit qu elle devait secourir des gens en difficulté sur le domaine skiable de Combloux. Elle nous a aussi dit que parfois ce n’était pas facile. Son métier consiste aussi à placer des filets, indiquer les dangers, placer des matelas sur les pylônes des téléskis et des télésièges, indiquer la couleur et le nom de la piste, et bien sûr secourir les skieurs qui se sont blessés. Pour cela, elle utilise une motoneige ou un traîneau. Cette année, les pisteurs de la station ont dû intervenir plus de 200 fois pour des blessures plus ou moins graves. Cela nous a paru beaucoup mais, en réalité, assez peu de personnes se font mal si on compare avec le nombre de skieurs (parfois, en février, 8000 skieurs par jour).

Après nous lui avons posé plein de questions et elle y a répondu.

    A Combloux, il n’y a aucun risque d’avalanche, donc elle n’en déclenche jamais. Chaque matin, elle part de très bonne heure pour avoir le temps de replacer les balises, les filets qui sont tombés et pour vérifier qu’il n’y a aucun danger sur les pistes. Le soir, elle vérifie qu’il n’y a aucun blessé, elle parcourt à nouveau toutes les pistes, elle descend au bas de la station et ferme les pistes.Pour devenir pisteur, il faut passer un brevet de secouriste et avoir un très très bon niveau de ski.

Jordan aimerait beaucoup faire ce métier quand il sera adulte.

Jordan et Geoffray

Mardi 28 mars, un guide est venu au chalet pour nous expliquer la vie en haute montagne. En premier, il nous a demandé si l’on savait ce que faisait un guide de haute montagne. Et vous le savez-vous ?

Si vous ne le savez pas, continuer à lire le texte.

Il emmène des randonneurs en haute-montagne. Quand les clients lui demandent de les accompagner, le guide a leur vie entre ses mains.

Ensuite, Luc, le guide, nous a expliqué les dangers en haute-montagne qui peuvent provoquer la mort. Voici les quatre principaux : les crevasses, les avalanches, les éboulis et le mauvais temps.

Les crevasses : ce sont des grands trous formés dans un glacier.

Les avalanches : elles se produisent quand trop de neige s’est entassé et que tout dégringole le long de la montagne

Les éboulis : ce sont des pierres qui tombent.

Le mauvais temps : c’est le brouillard, l’orage, le vent, etc…

Après nous avoir expliqué ces quatre dangers, le guide nous a montré des diapositives sur le Népal, car avec des amis, il y est allé pour escalader des montagnes. Sur les diapos, nous avons vu ses six compagnons et les porteurs (ce sont des personnes qui portaient toutes les affaires des randonneurs et la nourriture). Luc nous a expliqué que les porteurs n’avaient pas beaucoup d’habits et pas de chaussures pour traverser les névés donc les grimpeurs leur ont prêté des affaires et surtout des chaussures, pour qu’il n’aient pas mal aux petit petons ! ! !

Après avoir escaladé plusieurs sommets à environ 5000m, le guide décida de grimper une montagne plus haute que les autres (6200m d’altitude). La course pour atteindre le sommet était très difficile, alors il n’a choisi les 3 randonneurs en meilleure forme. En cours de route, un a dû abandonner car il était trop fatigué pour aller jusqu’en haut.

Une fois les diapositives finies, Luc sortit de son sac à dos tout le matériel que doit avoir un guide de haute-montagne. Il y avait : des peaux de phoque, une corde, des chaussures à crampons, un piolet, une lumière torche, un casque, des pitons (ce sont des clous qui s’enfoncent dans les parois rocheuses), des mousquetons , un baudrier, des moufles et un A.R.V.A ( Appareil de Recherche des Victimes en Avalanche).C’est un petit bipeur que les randonneurs placent sur eux. En cas d’avalanche, les secouristes qui ont le même appareil, pourront facilement retrouver le ou les victimes ensevelies.

Et pour finir, nous avons posé des questions à Luc.

C’était vraiment très intéressant. On a appris beaucoup de choses.

Blandine et Sabrina

La Combaz est un très grand bâtiment de 3 étages qui contient   deux salles à manger, plusieurs salles de classe, une bibliothèque, un foyer, un grand vestiaire et de nombreuses autres petites pièces.

Il y a deux salles à manger, une en bas et une en haut. Celle du haut est très agréable car on a une vue magnifique sur les montagnes.

C’est dans le foyer qu’on se réunit tous pour choisir nos veillées ou regarder une cassette vidéo. C’est une grande salle avec deux tables de ping-pong, un babyfoot, une télé, une grande cheminée.

Dans les étages, il y a des chambres de 4 et de 2 avec chacune une salle de bain, mais pas de toilettes. Certaines chambres ont un balcon. La vue y est superbe.

Un grand vestiaire permet aux enfants de ranger leurs affaires de ski : chaussures, cottes, gants, lunettes, etc. Parfois, au retour du ski, on a du mal à retrouver nos vêtements même si les classes mettent leurs habits en différents endroits.

La cour, elle est assez grande, il y a des panneaux de basket, un petit ruisseau, des rochers que l’on peut escalader, deux buts de foot brésiliens.

En résumé, La Combaz c’est génial.

Yohann et Aurélie.

Nous sommes en classe deux fois par jour même le dimanche, le matin pendant 2h30 et le soir 1h30 . Parfois on est endormi pendant la classe car nos journées sont fatigantes.

On peut vous dire qu’on aime mieux la classe à La Combaz qu’à La Ferté .

On travaille peu. Nous étudie la montagne, la faune, la flore, etc. Même si on fatigue Monsieur Gabert, il nous aime bien quand même.

Par contre, nous ne sommes jamais longtemps en récréation . Ca nous fait drôle de travailler le dimanche et le mercredi mais on s ’amuse bien à Combloux. Le mercredi , on se dit que nos camarades des autres classes de notre école ne travaillent pas ,mais nous , les autres jours, on fait du ski l’après-midi pendant que, eux, ils sont en classe !

Olivier et Tatiana

Nous descendons tranquillement, en suivant le moniteur ou la monitrice. Chaque jour, nous montons de plus en plus haut, et les pistes sont d’un niveau supérieur.

Tous les enfants de la classe se plaisent bien sur les pistes. Les cours de ski sont agréables et le temps passe vite. Nous faisons beaucoup de progrès et nous serons bientôt des petits " champions " !

BAPTISTE et MARIE

Le musée des Rubins.

Vendredi 31 mars ,nous sommes allés au musée des Rubins de Sallanches . Le musée est un vieux château du Moyen-Age qui a été restauré.

A l’intérieur,il y a des panneaux, des vitrines, des documents sur la faune et la flore de la montagne. Les animaux dans les vitrines sont des animaux qui ont été trouvés morts puis empaillés.

M. Gabert nous a mis par groupes de deux et nous a donné un questionnaire. Pour répondre aux questions de notre fiche, il fallait chercher des renseignements dans un dictionnaire, dans un minitel ou sur les affiches. Certaines questions étaient difficiles mais un monsieur du musée était là pour nous aider.

A la fin, on a observé un drôle d’oiseau qui s’appelle le " gypaète barbu " et qui se nourrit avec des os de cadavres d’animaux (voir photo du Gypaète en compagnie d’Olivier)

C’était une visite agréable qui nous a appris beaucoup de choses.

Andy

A la Combaz, il y a 9 animateurs. Ils sont là pour s’occuper de nous à plusieurs moments de la journée.

Le matin, ils nous mettent de la musique pour nous réveiller en douceur. Dès que nous sommes habillés et que nous avons fait nos lits, nous allons sur un bout de moquette, puis Jean-Luc et David nous présentent le programme de la journée. Tous les 3 jours, le soir, ils ramassent notre linge sale. Ils vérifient que nos chambres sont bien rangées.

Ils nous accompagnent au ski. Bien sûr, ils skient avec nous et nous aident quand nous tombons !

A part ça, ils nous accompagnent dans les sorties, les promenades et les visites.

Ils nous préparent des veillées et on s’amuse bien.

Ils nous font sortir de table après les repas. Souvent, ils nous demandent de goûter à tous les plats.

Nous vous les nommons : Marina, Jean-Luc, Anthony, Gérard, David, Benjamin, Alban, Cindy, Jérôme et Laurent qui est adjoint directeur.

Toute l’équipe est très sympathique.

Elsa et Axelle

 Chaque soir, après le dîner, nous nous rassemblons au foyer. Laurent (un animateur) nous propose des veillées comme : zip-zap, la vache qui tache, Médor et son os, la calculatrice etc…

Nous avons beaucoup de choix mais malheureusement, parfois, nous ne pouvons pas aller à la veillée qui nous plait. En général, les veillées sont assez amusantes. Nous nous mélangeons avec les enfants des autres classes donc nous pouvons faire connaissance avec eux.

Comme les veillées nous plaisent, le temps nous parait court. Elles ne se finissent pas toutes en même temps. Ensuite, nous remontons séparément à nos étages, pour aller nous coucher après une journée bien remplie.

 Aurélie et Marie

La balade à pied

    Un car nous a montés à la station de ski de Combloux puis il est reparti. Nous sommes allés voir s’il y avait de la neige sur les pistes. Heureusement, il y en avait encore un peu.

Ensuite nous sommes repartis à pied à La Combaz. Le paysage était beau. Après une longue balade sur les routes et sentiers, nous avons traversé deux champs et on est arrivé sur une autre route. Nous l’avons suivie jusqu’à la Combaz et nous avons goûté, tout en jouant dans les rochers. Voilà une bonne après-midi mais un peu fatigante quand même.

Yohann et Jordan

La première séance de ski.

En tout cas, comme on le dit régulièrement, on s’est " trop éclaté " sauf certains qui ont fait très souvent BOOM,BA,DA ,BOOM, la figure par terre ! ! !

Nous, les débutants, nous avons appris à glisser. D’autres, un peu plus forts, sont allés prendre le tire-fesses puis ont skié sur des pistes plus difficiles.

Après avoir skié, on avait mal aux pieds, oyé ! Ensuite, on est reparti, oh oui , à la Combaz.

Le ski, ça nous plaît mais c’est un peu difficile au début.

A la patinoire de Megève, deux enfants sont tombés sur le poignet : Clémence et Mylène. Au retour, la navette s’est arrêtée devant un cabinet médical. Les filles et Monsieur Gabert sont descendus. Ils sont rentrés dans la salle d’attente. M. Gabert a fait rire Mylène et Clémence.

Puis, le médecin est sorti de son cabinet. Il a emmené les blessées dans une salle pour faire des radios de leur poignet. Mylène est passée la première car elle est fragile des poignets, puis Clémence y est allée à son tour. Une dame a placé leurs mains sur une tablette grise pour bien voir leurs os sur la radio. A chaque fois que leur main était bien mise, elle se mettait derrière un mur vitré et appuyait sur un bouton qui allumait une lumière orange. Une fois les radios développées, le médecin plaça celles-ci sur un support éclairé.

Il a conclu que leur poignet était cassé. Il leur a mis un plâtre en résine. Mylène a une résine blanche et Clémence une résine bleue. Celles-ci n’étaient pas super enchantées mais le médecin leur a donné l’autorisation de skier, ce qui les a rassurées.

Le soir, les deux malheureuses ont pu appeler leurs parents pour tout leur raconter. Heureusement, ce n’est pas trop grave !

La patinoire

Dimanche après-midi 26 mars, Jean-Claude le directeur de La Combaz, nous a emmenés à la patinoire de Megève. Toute la classe était contente, mais quelques enfants avaient un peu peur car ils n’avaient jamais fait de patins à glace.

Avant d’aller à la patinoire, nous nous sommes mis en cotte de ski, et avons pris nos gants et casque.

Vers 14h30, nous sommes partis pour Megève. Nous sommes entrés dans la patinoire et avons fait la queue pour prendre mes patins à glace. Nous avons attendu que tout le monde se chausse pour s’élancer sur la glace.

Au début, certains ne voulaient pas quitter le bord, mais ils se sont quand même habitués. Au bout d’une heure, Jordan et Olivier étaient déjà capables de faire des figures (pirouettes, sauts…) D’autres patinaient à plusieurs en se tenant la main. On prenait de plus en plus de vitesse, mais plus on allait vite, plus on tombait. Ceux qui n’avaient jamais patiné ont trouvé ce sport excitant. Nous sommes, autant dire, tous tombés au moins 2 fois. Et c’était rigolo. Au moment où Mylène et Clémence se sont décrochées du bord, elles sont tombées et se sont cassées le poignet.

Après toutes ces aventures, nous sommes rentrés au chalet.

Nous avons passé un bon après midi, même Clémence qui nous a dit qu’elle s’était bien amusée.

La distribution du matériel de ski !

Après notre sieste, samedi 25 mars, nous sommes partis vers la grange de la Combaz, et nous nous sommes rangés par ordre de pointures. Les animateurs nous ont prêté des chaussures de ski adaptées à nos pieds. C’est très rigolo de marcher en chaussures de ski. Cela fait une impression bizarre.

Ensuite, on est allé dans une autre partie de la grange pour prendre les skis. On nous donnait une paire qui correspondait environ à notre taille. Ensuite un moniteur (Laurent) a réglé nos fixations et nous avons inscrit le numéro de nos skis et de chaussures sur une feuille. Ensuite nous sommes allés chercher nos bâtons et nos casques. Nous avons mis les skis à l’arrière d’un petit car et nous sommes partis déposer tout le matériel dans un petit local au pied des pistes.

Il faut retenir les numéros de ses skis et de ses chaussures ; pour certains, ce sera facile mais, pour d’autres, ce sera tout le contraire !

Dans la nuit de dimanche à lundi 27 mars 2000, il a neigé. Le matin, en ouvrant nos volets, nous avons pu admirer un spectacle magnifique.

Après le petit-déjeuner, nous sommes allés en classe, mais au bout d’une heure, nous sommes sortis dans la cour, puis nous avons joué dans la neige.

Nous avons fait des bonshommes de neige et des photos du paysage. Les arbres étaient recouverts de neige, nous avons pris la branche d’un sapin, nous avons tiré et toute la neige nous est tombée dessus. C’était très amusant.

Nous avons fait des boules de neige et nous les avons lancées sur les autres. La neige tombait des sapins, puis tombait dans notre cou.

En fin de récré, nous avons cassé les bonshommes, et nous les avons fait rouler dans la pente derrière le chalet.

Nous nous sommes bien amusés.

Mais cela ne nous avançait pas dans notre enquête pour retrouver P’tit Rivoli .

Elsa et Axelle

Le voyage

Nous sommes partis à 22h30 en direction de Gien. Là-bas, nous avons pris une classe de CM1 puis nous sommes repartis vers Combloux. Les chauffeurs se sont arrêtés 3 fois et personne n’a été malade. Nous sommes arrivés à la Combaz vers 7h30 le lendemain.

Nous sommes descendus du car pour aller vers une sorte de salle de réunion. Là, nous nous sommes répartis en groupes pour les chambres, et sommes montés dans notre " suite royale ". Après, nous avons fait les lits et rangé nos affaires dans les placards. Puis nous avons descendu nos cottes de ski et autres matériels.

Nous sommes ensuite remontés chercher nos cahiers et notre trousse en classe. Enfin nous avons eu une récréation et sommes partis manger.

Nous avons trouvé la journée fatigante mais nous étions contentes d’être arrivées.

Mélanie et Elsa